Un tissu était à l'honneur dans ce Burda de septembre : le double face.
Deux tissus (1 et 2) sont rassemblés par un fil tissé entre eux (3)
J'avais un tissu de ce type dans mon armoire, et aucune idée comment l’utiliser.
Burda, tu seras donc un professeur ce mois-ci : je vais tenter l'exercice et enfin couper mon tissu.
Burda 09/2015, modèle 122 A, taille 34.
La suite sur le nouveau blog
Le prochain défi Burda sera publié sur mon nouveau blog.
Un nouveau blog, waouh, quel scoop !
Mais cette fois-ci, il marche, parce que j'ai enfin fait appel à un pro (merci Le Parrain !). Donc, chère lectrice, cher lecteur, tu pourras t'abonner à la newsletter sans peur, cette fois, c'est du solide, du blog qui va durer mille ans (bon j'exagère...)
N'oublions pas l'essentiel : la couture !
Petit projet ce mois-ci, mais sur un thème développé par le Burda de septembre : le tissu double face...
Au premier septembre !
Avec les copines :
C'est Burda, en juillet, qui m'a mis l'eau à la bouche avec un gros intitulé VICHY sur sa page "tendance" : il semble que l'ensemble short-blouse en vichy reviennent en force (chez Oscar de la Renta, entre autres).
Allez, je me lance. Mais d'abord pour La Petite Fille, pour voir (parce que sur les mannequins de O. de la Renta ça rend bien, mais après...)
Pour le haut : une énième version de Marthe, manches courtes cette fois.
Bon, ça à l'air pratique.
Pour le bas, j'étais un peu juste en tissu, il a fallu couper un petit volume (et une seule poche) : le bermuda E du livre Petites filles modèles : vêtements décontractés et robes de princesses de Yuki Araki, ma mine d'or perso de modèles pour enfants, aussi connu sous la référence 279-fr chez les Japan Couture Addicts.
Le tissu est un coton vichy vert que l'on m'a donné (mais qui alors ? Et quand... ?). A mon avis il était plutôt destiné à du linge de maison, mais il est très bien adapté à ces vêtements d'été : il est léger mais pas transparent.
Toujours aussi confortable, on dirait.
Quand La Petite Fille a vu l'ensemble, elle n'a pas aimé. "Ça manque de couleurs" a-t-elle précisé. Et puis, il y a eu la séance photo au parc... A notre retour, elle a demandé quand elle pourrait le remettre. Yes !
On ne présente plus Lucie de République du Chiffon.
Alors je vais raconter ma journée au Festival d'Avignon avec Lucie.
Lucie et moi devant le Palais des Papes, détour photographique obligé ! Le sac Lisette a profité de la balade aussi.
En passant, nous décidons de nous reposer quelques minutes dans cette ruelle moyenâgeuse. Lucie est en crêpe de viscose à pois, d'une douceur à tomber. Elle est ornée de passepoil noir sur les bretelles du devant et du dos, pour dire que, mais je ne suis même pas sûre que ça se voit à moins de trente centimètres.
Lucie m'accompagnera aussi à la rentrée, ceinturée pour plus de classe, avec un petit gilet.
Versatile et confortable, merci Lucie ! Je te ressortirais.
Le Burda d'août est bien connu pour ses tenues particulièrement chaudes : en feuilletant le dernier on a pu admirer une veste en fausse fourrure ! Mais j'ai attaqué ce défi pendant les dernières grosses chaleurs. Alors il a fallut un peu modifier un des modèle pour qu'il colle avec mon idée -de saison- du mois dernier : l'ensemble short.
Dans le burda du mois de juillet, une des pages "tendances" m'avait alléché. L'ensemble short en vichy était décliné par des créateurs que j'apprécie beaucoup, comme Oscar de la Renta. Et pourquoi pas pour moi ?
Mais à la réflexion, si le vichy pour les enfants est ravissant (et je le prouve ! à suivre...), autant pour moi, je n'ai pas osé. Je suis restée dans le motif cachemire, que j'aime beaucoup, qui me permet de poursuivre dans la veine provençale après ma combi-short en tissu Indiennes de Nîmes. Ma viscose motif cachemire vient de Tissu choc (et elle n'a passé que deux semaines dans mon armoire. Mais chut...)
Modèle 120 Burda 08/2015, taille 36, très bien pour mon habituel 34. J'ai simplifié le devant en enlevant le pan rabattu et j'aime beaucoup. La coupe de ce haut est très réussie, très seyante. Elle tombe bien avec mon tissu très fluide, mais je pense qu'elle peut aussi aller dans un coton avec de la tenue.
Le short à la belle découpe est un Alexandria Track shorts de Named, taille 34 (taille élastiquée).
Autre modification du haut Burda : j'ai coupé le dos en double, pour éviter les raccords dans mon tissu à motif, et j'ai terminé l'ouverture grâce à une patte indéchirable.
Petit rappel technique : la patte indéchirable (couturière chevronnée, tu peux zapper).
Etape 1 : on découpe un morceau de tissu correspondant à l'ouverture. Ici un morceau de 6*9.5 cm, à poser endroit contre endroit sur la fente d'ouverture.
Etape 2 : coudre tout autour, à 5 mm du bord environ;
Etape 3 : on coupe ! Puis on retourne le tissu, on fait un rentré et on pique à environ 5 mm de l'ouverture, sur l'endroit, bien proprement.
Le short a beaucoup plu à La Grand-Mère aussi : je lui en ai cousu un pour son anniversaire, dans le tissu de ma jupe Copacabana, en taille 38 (je le porte sur les photos, La Grand-Mère n'a pas pu se libérer pour le shooting).
Légèrement transparent, hum... Mais il sera porté en pyjama.
Et bien... heureusement que l'esprit pyjama est tendance, paraît-il !
Pour voir les autres défis, c'est par ici !
Tout était trop beau dans mon nouveau site... Voilà que j'apprends en réalité que toutes les jolies fonctionnalités de mon nouveau blog chéri n'étaient disponibles qu'en version gratuite provisoire... Zélie Décousue va donc à nouveau déménager... Mais je ne voulais pas pour autant rater une échéance du fameux défi Burda !
Le magazine d'août est rempli de très jolis modèles... d'automne-hiver bien sûr !
Bon, j'ai quand même réussi à trouver un petit quelque chose à coudre.
Pour certaines (pour moi !), le défi de ce mois-ci risque d'être un peu chaud... Alors les couturières, vous en êtes ?
La suite, bientôt !
"On dirait une robe de cagole" a dit La Grand-Mère en prenant les photos.
Modèle 121 Burda 06/2015, taille 34
La suite sur le nouveau blog de
... un gilet en noir et blanc !
Les adieux à ce blog durent... Je voulais présenter une dernière pièce de printemps : un gilet Phildar, en noir et blanc, commencé l'automne dernier.
C'est le numéro 19 du catalogue Phildar n°107 "spécial experte" (oui, les chevilles, je sais...)
Et bien, expert-e, pas forcément, mais il faut être patient-e. Le point se retient vite, mais aucune erreur n'est possible et surtout... il faut couper le fil à chaque ligne (enfin, toutes les deux lignes, il y a une astuce, mais bon, quand même, ça fait une belle quantité de fil à rentrer lors du montage...)
Ici avec ma jupe tutu, lors d'un pique-nique d'une belle journée d'avril. L'ensemble n'est pas du plus seyant, mais j'adoooooore... Vivement l'automne, que je puisse le remettre !
Glorieux mois de mai, chaud et ensoleillé, me voici à coudre un modèle de spencer en lainage !
Oui, en lainage !
Vive le printemps, la douceur de l'air, les gambettes à l'air et les petits papillons !
Modèle 122 du Burda 05/2015, taille 34.
J'ai acheté ce tissu lors du destockage d'un atelier lyonnais, pour en faire un tailleur, mais le métrage est un peu juste. Bon, il est quand même framboise, le lainage... ça fait plus printannier, d'un coup, non ?
Le défi Burda, c'est très stimulant, surtout ce mois-ci avec les défis de Johane, Annette, et Anne ! Le seul problème, c'est qu'on n'a pas trop le temps de soigner la photo (ici, les prises sont encore une fois in extremis, à 18h30 hier soir)
Un chouette modèle, très ajusté et bien coupé. Mon lainage et ma doublure sont légèrement extensible, ce qui permet de rester confortable.
Petite astuce bien sympa : en lieu et place des épaulettes, il est conseillé de coudre une bande de 4 cm de vlieseline volumineuse. Les épaules sont soutenues mais ça fait moins camionneur que des épaulettes : j'aime beaucoup, je reprendrais certainement l'idée.
Et en tailleur, ça ne serait pas mieux, ce spencer ?
Cliquer pour les défis de Anne, Annette et Johanne.
La robe portefeuille du défi n°9 ne nous avait pas convaincu, ni Johane ni moi.
Je me voyais déjà remiser ma robe inutile dans mon panier à ouvrage, celui qui est déjà enseveli sous une montagne de travaux inachevés à retravailler, customiser ou transformer et avoir une idée, disons... plus tard.
Mais Johanne a piqué mon orgueil et nous voici donc avec un défi dans le défi : reprendre nos défis ratés pour en faire des créas portable et sauver nos tissus (qu'on aimait bien, en plus).
Les proportions de la robe me gênait. Pour mémoire, je la trouvais "mémérisante" (comme dirait CC) : de dos, elle faisait des épaules de camionneur et n'était pas particulièrement seyante au niveau de ma taille.
Enivrée par les basques des Marthe cousues récemment et par tous les hauts peplum que l'on voit fleurir depuis deux ans, j'ai tenté l'aventure du haut à basque.
La transformation est simple : j'ai enlevé toute la jupe que j'ai recoupé, pour en faire un long rectangle qui a servi de basque.
Et c'est tout.
Et j'adore. Exit les épaules de camionneurs, alors que je n'ai absolument pas retouché cette partie. Enlever la jupe a permis de retrouver des proportions que je trouve plus harmonieuses.
Pour voir la transformation de la robe de Johanne, c'est par ici.
Point de poisson d'avril, mais du défi Burda, du vrai, du léger, du terminé...
Pour ce mois de mars chargé, petit projet : j'ai réalisé le top d'été.
Modèle 103 Burda 04/2015, réduit à la taille 34.
J'ai utilisé un coupon de 65 cm de soie acheté pour un autre projet il y a plusieurs années chez Mondial Tissu.
Le décolleté est profond mais pas indécent pour les petites poitrines. J'aime beaucoup la découpe de ce haut en quatre parties, qui fait des dessous d'emmanchures carrées.
Et avec la soie... une caresse sur la peau quand on l'enfile.
Pour la frime, jambes nues... mais seulement pour une très courte séance photo !
J'ai besoin de petits hauts (si si voyons, c'est évident que ma garde-robe est toujours à plaindre et à remplir ! ) et la blouse fluide du Burda de décembre 2013, un de mes numéros fétiches, me faisait de l'oeil depuis un moment.
Je suis enfin passée à l'acte.
Blouse 108 burda 12/2013, taille 34/36. Taillée dans un tissu difficile à cerner, hyper fluide et satiné, vendu lors d'un destockage sur internet comme une viscose. Après le test du briquet, fi de viscose, c'est un tissu qui contient beaucoup de synthétique.
Seule modification : j'ai enlevé le col, trop difficile à réalier. Un biais permet de finir l'encolure, avec un petit bouton décoratif, jamais fermé, mais dont le seul poids plume permet à cette blouse hyper légère de bien rester en place. Ce tissu très fluide a été très long à travailler, tout en coutures anglaises, avec un effort fait pour le raccord des rayures irrégulières.
Porté, ambiance kaki.
Alors franchement, je trouvais cette blouse un peu vieillote mais, après quatre compliments de mes collègues dans la même journée, je me suis dit que ce petit vêtement semblait plutôt réussi...
Et d'un confort ! Ce qui ne gâte rien dans une vie de jeune maman.
Pour que le défi Burda du 1er avril ne soit pas une mauvaise blague, ni une déception comme les deux derniers mois, j'ai pris une série de résolutions :
- arrêter d'aller sur le site de p-an-da qui publie les dessins des modèles Burda du mois suivant avant même que j'ai publié mon propre défi (soit plus de trois semaines avant la parution),
- arrêter, donc, de choisir mon modèle avant d'avoir lu les instructions du magazine (notamment les dessins techniques, le type de tissu...)
- attendre au moins 24h avant de commencer à décalquer mon modèle, pour me laisser le temps de réfléchir.
Pari presque tenu : j'ai saisi mon crayon au moins 22h après avoir ouvert le Burda d'avril.
Suite des résolutions :
- Avec Johanne, on n'aime pas jeter : on s'est lancé un défi "récupération" de notre robe portefeuille qui nous déplaît absolument. A suivre...
- Annette, qui nous a remotivé pour notre défi "récupération" est une especial invitée du défi d'avril, avec un rab' de temps (mais mon petit chas me dit que ce ne sera pas nécessaire...)
A bientôt !
Je vais régulièrement visiter le site de République du Chiffon et j'ai finalement craqué à l'appel de la collection Mini-République du Chiffon.
Pour le modèle Marthe.
Deux fois.
Autant Marthe me paraissait peu seyante pour les femmes, autant c'est un bijou pour les petites filles.
Des manches raglan bien confortables, une taille particulièrement large qui laisse de l'ampleur aux mouvements...
Déclinable en version hiver, avec ce sublime liberty lantana (celui avec 20% de laine, le bonheur absolu) Tatum trail (j'ai d'ailleurs longuement hésité à tailler dedans, vu le mode de vie de La Petite Fille, dangereux pour les vêtements). Ce tissu est une merveille, il tombe toujours parfaitement, quelque soit le patron.
Taille 5 ans, avec manches raccourcies (les plis aux manches sont jolis mais pas pratique) et longueur 6 ans pour La Petite Fille de 4 ans et demi.
Déclinable aussi version printemps-été, dans ce beau lin corail de chez Little Fabrics, chute de ma robe de pin up (que j'ai porté une seule fois, puisqu'on en parle...).
Taille 6 ans en prévision mais pour l'instant trop grande ! Manches raccourcies pour cause de coupon juste juste...
A la place de la bande de propreté préconisée pour le modèle, j'ai posé un biais sur toute l'encolure, qui sert aussi de lien d'attache, au dos. Par contre ce n'est pas du travail très propre. Il faut absolument que je teste avec la méthode de Géraldine, la créatrice.
Bientôt la petite troisième... Marthe, bien sûr !
C'est une robe portefeuille, le modèle 127 du Burda 03/2015, taille 36.
Pour ce défi du mois de mars : coudre un modèle du Burda en cours avec un tissu de mon stock, j'ai décidé que la robe portefeuille serait parfaite. Ample sur le buste, ample dans la jupe, elle m'a donc paru très confortable et vélo-compatible.
J'ai utilisé un coupon de natté de coton-viscose, avec un très beau tombé, que j'ai acheté au poids à Toto : il y a un défaut d'impression sur une partie du coupon. J'ai mal calculé la longueur du tissu, évidemment : au dernier moment, j'ai dû choisir la version courte de la robe (je trouve la version longue plus harmonieuse, mieux proportionnée) ; en plus, pour que les raccords soient jolis, j'ai dû tailler une partie d'une manche dans le tissu avec le défaut...
Elle ne me va pas.
Je déteste.
Du coup elle n'est pas tout à fait finie, on voit encore des fils qui dépassent.
Je n'ai pas la taille marquée, je dois bien finir par m'y résoudre ! Pour moi, c'est donc robe droite conseillé, et sans ceinture. Tout l'inverse de cette robe qui a une silhouette en triangle.
Je suis vraiment déçue parce que j'adore les robes portefeuille. Je trouve en plus que la construction de ce modèle est particulièrement originale.
Cette robe est un faux portefeuille. Elle ne s'ouvre pas entièrement. Elle est fermée par deux ceintures, une ceinture intérieure fermée par un bouton pression, l'autre extérieure fermée par un bouton recouvert. Un dernier bouton pression ferme le décolleté.
La ceinture est thermocollée, mais je ne suis pas convaincue de l'intérêt : cela rajoute une épaisseur disgrâcieuse sur les fesses.
En plus les emmanchures laissent voir le soutien-gorge.
J'ai même essayé de la refiler à La Grand-Mère, mais bon... nous sommes conçues sur le même modèle.
A la place de la robe, je vais lui donner mon découd-vite.
Johanne, qui m'accompagne depuis plusieurs défis, a aussi réalisé cette robe, avec les mêmes conclusions que moi ! C'est par ici.
A bientôt pour une nouvelle transformation !
C'était mon défi Burda d'octobre 2014 : une robe ovni dont j'avais transformé la partie jupe et rajouté un short indépendant.
Trop grand, trop loose, pas la bonne combinaison de tissus...La robe ne m'avait pas du tout plu sur moi : La Grand-Mère, encore une fois, s'est armée de mon découd-vite et a désolidarisé le haut et le bas.
J'ai repris les emmanchures pour diminuer la carrure : le haut est devenu mon nouveau chouchou. Un haut noir qui va pratiquement avec tout, hyper doux avec ce tissu en liberty lantana isla rose (avec 20% de laine) et avec des détails raffinés.
Un chouïa court après toutes les coutures et dé-coutures et re-coutures, mais bon, ça passe.
Et la jupe ? Ben je l'ai gardée !
J'ai monté le short et la partie jupe ensemble dans une large ceinture élastiquée. Le crêpe de laine fushia ne supportant pas vraiment les ourlets, j'ai entièrement bordé la jupe d'un biais en satin motifs cachemire.
Je trouve que l'ensemble va mieux, désolidarisé, que monté en robe comme à l'origine...
Et avec ma veste de smoking de feu le magasin Manoukian, c'est portable ?
J'hésite encore... C'est peut-être un peu original, même pour moi et mes collants libellule...
Les combi-pantalon, j'adore et c'est à la mode (ou plutôt : c'est à la mode et donc j'adore.
J'en ai essayé plusieurs dans le commerce mais aucune ne me convenait : tellement simple que j'aurais plus la faire moi-même en quelques heures, ou mal coupée, ou trop chère...
J'ai donc repris le modèle de la combinaison Burda de septembre 2011 que j'ai déjà réalisée en cupro, mais en modifiant le haut qui n'est pas vraiment pratique (j'ai craqué la couture d'une manche) et qui nécessite un top en dessous. Je suis tombé après de longues recherches pendant lesquelles je n'ai pas cousu sur le magazine Couture mode n° 8 (ce n'est pas un magazine japonais, ça ?) dont j'ai beaucoup aimé le modèle, mais seulement pour le haut (le pantalon est très ajusté).
Et zou !
Un lainage tout fin (brrrrrr les photos en extérieur ! ) noir de chez Toto (avec beaucoup de synthétique et peu de laine, bouh !)
Le modélisme, c'est un métier, hein !
On voit bien les petits défauts de raccord de la ceinture et sur les pinces poitrine.
J'hésite encore sur la finition des manches. En attendant, l'ourlet est surjetté et j'ai simplement replié les manches, sans couture.
Et avec mes chaussures dites "de clown" (je ne parle plus à cette personne injurieuse, qui a "traité" mes chaussures), avec mes chaussures ça-passe-ou-ça-casse, ça passe, hein ?
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